21 juin 2017

Les banques ont-elles encore besoin de clients ?

Suite à la fermeture de la plateforme des blogs de L'Obs, voici la copie d'un post de janvier 2016 :

Frais bancaires, sécurité des dépôts : Les banques ont-elles encore besoin de clients ?

  
 
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Le 1er janvier 2016 marque un changement fondamental dans le paysage bancaire. D'un côté, avec l'entrée en vigueur de la Directive européennes BRRD, les déposants pourront être sollicités en troisième recours en cas de faillite des banques, de l'autre, avec la mise en place de la taxation étendue des comptes courants.
La fin de la sécurité pour l'argent déposé concerne les plus riches (au delà de 100.000 euros) et pourrait avoir comme conséquence de voir ces derniers exporter, de façon légale, leur argent en dehors de la communauté européenne, et pour les moins riches (en deçà de 100.000 euros) une partie des fonds risque de circuler avant de se placer sur les banques en ligne ou d'être transféré vers les fintech. Les grands établissements bancaire n'ont rien retenu de l'affaire Volkswagen en termes d'image négative pour leur entreprise. Et à priori elle n'ont plus besoin de l'argent des clients. Trop d'argent nuit à l'argent.
Tout cela est davantage médiatisé pour la BNP Paribas et pour la Société Générale que pour d'autres, mais le Crédit Mutuel, par exemple, est de la partie. Les Chèques Postaux ayant toujours prélevé un petit quelque chose sur les comptes des clients on passera (presque) sous silence la décision de la Banque Postale de participer à la fête.
Sur l'aspect relatif aux frais de gestion des comptes, il suffit de recouper quelques sources pour avoir une vue d'ensemble du problème.

Actuellement, les banques trouvent à se financer moins cher sur le marché qu'auprès des déposants à vue (en clair : les clients). Un article du Monde.fr précise « L’avantage que procurent [ces comptes] en termes de coût de la ressource s’amenuise considérablement, au regard des ressources à taux de marché », estime Laurent Quignon, économiste chez BNP Paribas. Par ailleurs, le taux de dépôt de la Banque centrale européenne, négatif depuis juin 2014, joue comme une taxe pour les banques." On comprend les conséquences ..." Les liquidités qu’elles déposent au jour le jour auprès de l’institution sont facturées, afin d’encourager leur circulation sur le marché interbancaire."
Sur RTL.fr, on peut lire "Comme tous les acteurs du secteur, nous avons besoin de couvrir nos charges, liées à l’investissement dans les services de banque digitale notamment", se justifiait Yves Nanquette, le directeur général de LCL, pour qui "afficher d'emblée le 'tout gratuit', c'est la négation du service". On comprend que c'est aux clients de compenser les frais des services qu'on leur propose. Une façon de dire que les banques sont les prestataires du service qu'elles vous rendent de bien vouloir accepter votre argent et de vous faire la grâce de vous offrir, à titre onéreux, des moyens de le récupérer.
Les coûts de la gestion quotidienne des comptes des particuliers (nota : les entreprises payent de leur côté la tenue des comptes courant depuis belle lurette) et les investissements divers que les clients n'ont pas forcémentdemandé (et pour lesquels encore moins ils ont été consultés) s'ajoutent donc aux charges sur le dépôt de liquidités auprès de la Banque centrale européenne, ces dépôts étant facturés afin d'inciter les banques à prêter de l'argent plutôt que de le placer. Ce que manifestement elle ne veulent pas faire, préférant faire payer aux clients la conséquence de leur décision.
"Autant de raisons qui les amènent à considérer qu’elles ne peuvent plus « offrir » ces frais de gestion aux clients, quand bien même elles ne rémunèrent pas les dépôts sur les comptes courants, ce qui se fait dans de nombreux pays. L’opération vise ainsi à accroître leur rentabilité alors même que l’activité de banque de détail se porte globalement plutôt bien." nous dit Liberation.fr. En clair, c'est pour faire de l'argent. C'est le rôle d'une banque. Attention, trop d'argent nuit à l'argent.
Sources http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/12/28/polemique-sur-la-facturation-des-comptes-courants-par-les-banques_4838474_3234.html
http://www.rtl.fr/actu/economie/ce-qu-il-faut-savoir-sur-la-hausse-des-frais-bancaires-en-janvier-2016-compte-courant-bnp-societe-generale-la-banque-postale-7781073122
http://www.liberation.fr/futurs/2015/12/30/la-taxation-des-comptes-courants-principale-tendance-bancaire-en-2016_1423591
et http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/12/22/20002-20151222ARTFIG00003-les-banques-en-faillite-pourront-desormais-ponctionner-les-comptes-des-deposants.php
Crédit photo : Pixabay.com

09 juin 2017

Après ceux de RMC, fin des blogs de L'Obs

"Pour des raisons à la fois éditoriales et techniques, l’Obs a décidé de fermer cette plateforme à compter du 30 juin 2017."

Blogueurs de L'Obs : La Grande Vadrouille

  
 
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En écrivant des posts thématiques sur un site ayant une forte notoriété et ouvert à tous on obtient une certaine visibilité, un bon référencement dans les moteurs de recherche et par conséquent de nombreuses vues à la clé.
Si on est nouveau en ligne, on ne s'imagine pas que le site puisse être racheté et disparaître dans les mois suivants, comme l'a été le Post.fr.
En écrivant plus tard des posts thématiques sur une plateforme attachée à un site ayant une forte notoriété et ouverte à tous on obtient une visibilité certaine, un référencement souvent dans les 20 minutes (sourire) et parfois avec le sous-titre "mobilier du nouvel obs" ce qui est très "fun" et par conséquent avec de nombreuses connexions (enfin sans doute parce les statistiques ont finalement disparu de l'administration du blog [...] ).
On ne s'imagine pas forcément cette fois-ci, qu'après avoir vu un jour d'avril 2017 (ou était-ce une nuit ?) l'absence totale de mots-clés sur la page de la célèbre plateforme (il fallait le voir pour le croire), puis celle-ci étant repartie à la hausse et tout étant redevenu normal, qu'elle s'écroulerait finalement dans les semaines suivantes.
Le malade est mort guéri. Ainsi va la vie du Net.
Les blogueurs concernés doivent migrer ailleurs et les outils ne manquent pas. Une grande vadrouille les attend car faire le bon choix pour eux n'est pas si facile et pour obtenir un grand nombre de visiteurs, il leur faudra être patients. Les journalistes et invités blogueurs sont silencieux sur l'arrêt définitif qui devrait avoir lieu le 30 juin prochain.

RMC.fr supprime les blogs perso. Sans prévenir...

  
 
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Le site RMC.fr a décidé de supprimer les blogs personnels sans informer au préalable, ni les blogueurs, ni apparemment son fournisseur de service Blogorama.fr.TEMOIGNAGE
Le 1er mai 2013, je reçois un email débutant par "Cher Blogueur, Attention, vous avez EN ATTENTE : 1 commentaire(s) non lu(s)" . N''utilisant pas trop ce blog, je décide malgré tout d'aller lire ce commentaire mais je ne peux obtenir (que) la page d'accueil du site RMC.fr.
Ici, j'imagine un problème technique en raison du 1er mai et ça ne va pas plus loin. Le 2 mai, je tente de nouveau l'accès et c'est toujours impossible. Je tape l'adresse de mon blog "florentb.rmc.fr" dans la barre du navigateur et j'obtiens ce message dans lequel RMC.fr, à posteriori, indique une possible solution au problème pour les blogueurs grâce à blogspace.fr :
 
Ici le lien de redirection de mon blog vers message à en-tête de RMC.fr (http://www.blogorama.fr/rmc.php)
Cependant, le 3 mai, pour m'informer, je découvre ce qu'est la plateforme blogspace.fr, dont la page d'accueil ressemble beaucoup à celle (ex) de RMC.fr. Et je prends connaissance de ce message de Blogorama.fr, qui motive ce post de témoignage. Il y est notamment précisé :"Cette décision a été prise par RMC sans que nous soyons avertis, nous sommes désolés pour cette interruption de service et désolés si certains ont cru que leur blog était supprimé."
 
A noter que Blogorama est une importante plateforme de blogs, que ce message ne préjuge pas des relations existant entre cette société et RMC.fr mais que j'estime un peu cavalier de la part de RMC.fr de ne pas avoir prévenu ses blogueurs de son intention.

-Publié avec MàJ sur sofb.fr le 9 juin 2017 à partir de deux posts antérieurement publiés sur livepost.blogs.nouvelobs.com, certains liens peuvent ne plus répondre-

06 juin 2017

LREM, l'acronyme improbable

Suite à la fermeture de la plateforme des blogs de L'Obs, voici la copie d'un post de mai 2017 :

LREM, l'acronyme improbable est lançé

  
 
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Le mouvement créé par Emmanuel Macron, En Marche! vient d'être rebaptisé "La République en Marche". De facto, son acronyme (presque un macronyme) est LREM. Soyons clairs, celui-ci va faire partie de notre quotidien bien que n'étant pas terrible, et peu facile à prononcer.
Pour la presse écrite, il sera simple d'écrire LREM. Les journalistes des radios et télés, eux, vont devoir choisir entre "les-ré-pu-bli-cains-en-march'", ou "L rèm" (comme elle rame). En tout état de cause, cet acronyme reprend en deux premières lettres le L et le R du parti Les Républicains. Heureusement que Nicolas Dupont-Aignan a rebaptisé son Debout La République, sinon c'était la confusion assurée !
Donc, pour cet acronyme LREM, c'est parti, si on peut dire. Exemple ici. Il est censé marcher. Pourtant, vient immédiatement à l'esprit le très usité "Lorem" de Lorem Ipsum. Il s'agit du faux-texte servant pour le calibrage du contenu d'une page de texte. Avec Wikipedia, on apprend même que le mot latin Lorem vient en fait de "dolorem" la douleur, donc la souffrance. Oups !
En parallèle à cela, on découvre que, selon un site d'analyse des acronymes (il y a de tout sur le Web), LREM a un chemin de vie de 3"Le chemin de vie 3 montre que vous avez un fort sens de la créativité et de merveilleuses compétences en communication." Pas faux. Mais peut mieux faire.
(photo : Pixabay.com)

03 juin 2017

Présidentielle : Une malédiction pour les anciens premiers ministres ?

Suite à la fermeture de la plateforme des blogs de L'Obs, voici la copie d'un post publié en avril 2017 :
Pixabay.com

François Fillon et la malédiction des premiers ministres

  
 
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François Fillon ne sera pas au second tour de l'élection présidentielle de 2017. Il n'était pourtant pas le premier ministre sortant. Y a t-il une malédiction pour les anciens premiers ministres de la République ?

En consultant la liste des présidents de la Ve République de 1958 à 2012 on peut constater en effet qu'une sorte de malédiction guette les premiers ministres de la France qui ont des ambitions politiques au delà de la fonction pour laquelle ils sont nommés par le Président de la République. Cela ne semble pas s'arrêter à 2012. Pour être élu président, ne faut-il pas de préférence avoir été seulement ministre d'un gouvernement, ou même pas du tout ?

Georges Pompidou a géré mai 1968, traversé une dissolution de l'Assemblée Nationale, et de part les circonstances (majorité absolue de l'UNR et départ du Général de Gaulle), il fait exception avec Jacques Chirac, mais est décédé en cours de mandat.

Maurice Couve de Murville a ensuite été battu par Michel Rocard à l'élection législative partielle d'Octobre 1969.

Jacques Chaban-Delmas s'est présenté à l'élection présidentielle de 1974. Avec 15,1% des voix il n'arrive qu'en troisième position derrière François Mitterrand et Valéry Giscard d'Estaing.

Jacques Chirac n'obtient que 18% des suffrages exprimés au premier tour des élections présidentielles de 1981, se trouvant derrière Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand. En 1988, il ne recueille au 1er tour que 19,94% des suffrages exprimés.

Raymond Barre n'obtient au premier tour des élections présidentielles de 1988 que 16,53% des suffrages, se situant derrière François Mitterrand et Jacques Chirac.

Laurent Fabius est marqué lors de son passage à l'Hôtel Matignon par deux scandales qui freineront ses ambitions présidentielles en 1986 et il arrive en troisième position lors de l'investiture du PS pour la présidentielle de 2007, avec 18,66% des voix des militants.

Michel Rocard subit de plein fouet sa performance à l'élection européenne de 1994 (14,49%). Son résultat mettra un terme à ses ambitions.

Edouard Balladur ne recueillera que 18,58% au premier tour de l'élection présidentielle de 1995 et arrivera troisième derrière Jacques Chirac et Lionel Jospin.

Alain Juppé est pris dans différentes affaires judiciaires au début des années 2000, qui freineront son ambition et il se retrouvera candidat malheureux à la primaire de la droite et du centre en 2017.

Lionel Jospin fut lui aussi victime des événements. Déjà antérieurement battu par Jacques Chirac, il arrivera au premier tour en 2002, seulement avec 16,18%, derrière Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen, surtout en raison d'un grand nombre de candidats présents.

Dominique de Villepin, crédité de 1 à 3% d'intentions de votes, n'obtiendra pas en 2012 les 500 signatures nécessaires à sa candidature.

François Fillon est vainqueur de la primaire de la droite et du centre en 2016 mais il se retrouve embourbé dans des affaires judiciaires, avec son épouse. Il ne sera pas au second tour de la présidentielle de 2017 en raison d'un résultat au premier tour (19,9% sur 97% des bureaux dépouillés), le placant derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen.

Manuel Valls sera le candidat malheureux des primaires citoyennes de la gauche, arrivé au second tour derrière Benoît Hamon.

(sources diverses, notamment gouvernement.fr et wikipedia.fr)

01 juin 2017

L'importance des petits candidats lors de l'élection présidentielle

Suite à la fermeture de la plateforme des blogs de L'Obs, voici la copie d'un post publié en mars 2017. Le commenter pourrait être intéressant dans le futur. Il faut signaler que la totalité des suffrages obtenus au premier tour par les "petits candidats" (Benoît Hamon inclus) a été de 15,10% !


Présidentielles 2017 : L'importance des "petits" candidats

  
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Au premier tour des deux précédentes élections présidentielles, les "petits" candidats avaient obtenu un score de 14-15 %.

En 2007 ils étaient 8 petits candidats et en 2012, en incluant Jean-Luc Mélanchon, ils étaient 5. Cette fois-ci, ils sont 6, ou plutôt 7 si on inclut Benoît Hamon (le résultat de JLM étant en 2012 de 11,10%). Prévisions et hypothèses sont les deux mots avec lesquels notre pays est géré, au fil de l'eau, alors pour quelques jours avant le grand saut dans l'inconnu on ne va pas à notre tour se priver, hein !

Dans la mesure où les petits candidats ont obtenu un nombre suffisant de parrainages pour entrer en compétition avec les ténors de cette campagne 2017, il convient de les prendre au sérieux. Ils bénéficient d'une structure politique et d'une base d'électeurs. La période est trouble, les hésitations nombreuses, nous dit-on. Imaginons Nathalie Arthaud, Philippe Poutou, Jacques Cheminade, Jean Lassalle et François Asselineau faisant à eux tous 4%. Imaginons Nicolas Dupont-Aignan à 4% et Benoît Hamon à 11%. Total 19%. Reste 81% à se partager pour les 4 principaux candidats.

Si Marine Le Pen est à 27%, il reste 54% pour les trois autres, vous me suivez ? Imaginons pour Marine Le Pen un score de seulement 25%, il reste 56% à se partager pour Emmanuel Macron, François Fillon et Jean-Luc Mélanchon. Ce dernier est actuellement crédité de 15%. Ce n'est pas surestimé compte tenu de son score précédent. Reste entre 41 et 39% à se partager entre Emmanuel Macron et François Fillon. Imaginons qu'il reste 40%. Chacun ne peut pas obtenir 25% ! Si l'un réalise un score de 25%, l'autre fait 15%.

Autrement dit, le vote du socle, de la base des petits candidats peut avoir une incidence sur "le reste à partager" entre les grands. 2% en 2012 pour Cheminade, Arthaud et Poutou, envisageons seulement 1% pour Lassalle et Asselineau et 3% pour Nicolas Dupont-Aignan, soit 6% au total des petits candidats, plus Benoît Hamon toujours à 11%. Cela fait 17% (au lieu de 14-15%) pour la totalité des "petits" candidats, soit un score réaliste compte tenu de la percée de Nicolas Dupont-Aignan et de l'étiquette PS de Benôit Hamon.

Reste 83% pour les quatre, Le Pen, Macron, Fillon et Mélanchon. Encore une fois un score de 25% pour Marine Le Pen semble être un socle, reste 58% à se partager pour les trois autres. Avec un socle apparent de 20% pour François Fillon, il reste cette fois-ci 38%. Moins les 15% de Jean-Luc Mélanchon, il reste 23% à Emmanuel Macron. On pourrait en conséquence imaginer au premier tour 25% pour Marine Le Pen, 23% pour Emmanuel Macron, 20% pour François Fillon, 15% pour Jean-Luc Mélanchon et 11% pour Benoît Hamon.

Le ou la candidate arrivant en tête n'a pas nécessairement besoin d'obtenir 27 ou 28% pour aller au second tour. Certes c'est une lapalissade de dire que dans ce cas cela serait au détriment des autres, en réalité surtout des suivants. Le score des "petits" candidats ayant la conséquence mécanique de réduire le "reste à partager" des grands. Pour une fois, c'est vous qui décidez.

Ajout en commentaire, écrit par : Florent B 
A 15 jours du premier tour, comme un divertissement pour le WE, compte tenu de mes impressions suite au débat entre les 11 candidats, de la prestation d'EM sur France2 et du sondage Présitrack publié ce jour, je vais affiner ma démonstration. 
J'intègre aussi les résultats passés. Considérés à minima : Cheminade 0,20, Lassalle 0,30, Asselineau 0,30, Arthaud 0,50, Poutou 1,20, NDA 4,00, Hamon 9,00. Total 15,50%. Mélenchon 15,50. Total 31%. Reste 69%. Avec NDA 3,00, reste 70. Avec Hamon à 10,00 reste 69.
On (re)voit que es votes en faveur des "petits" candidats sont plus importants qu'il y paraît.
Il est très difficile de prévoir le score de Fillon (qui peut évoluer entre 17-21%), mais encore une fois les 3 autres ne peuvent chacun réaliser 25% (aujourd'hui MLP est à 25, ce qui semble un minimum par rapport à des précédents 27 voir 28%) et EM à 24. Macron ayant été plutôt bon sur France2 (et malgré l'absence du sujet EM ce matin dans l'actu TNT), je ne lui donnerai pas moins de 23. Si je mets 25 à MLP (le minimum) et 21 à Fillon (le maximum) j'ai les 69%. (25+23+21=69)

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